Résidence de l’artiste Victor Alarçon à la section ferronnerie d’art du LP «Le Mont-Châtelet»

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Dans le cadre d'une résidence artistique au lycée Le Mont-Châtelet, Victor Alarçon et des élèves en ferronnerie d'art présentent leur exposition « Let's dance » au Musée Auguste Grasset jusqu'au 31 octobre 2025. Une fusion créative entre métal et céramique à ne pas manquer.

Au Musée Auguste Grasset de Varzy s’est tenu, le 5 juin dernier, le vernissage de l’exposition « Let’s dance », installation réalisée dans le cadre de la résidence de l’artiste céramiste Victor Alarçon avec les élèves en CAP (Certificat d'aptitude professionnelle) ferronnerie d’art au lycée professionnel « Le Mont-Châtelet » de Varzy (58). 
L’exposition est visible au musée Auguste Grasset de Varzy jusqu’au 31 octobre 2025.

Le Lycée Professionnel Le Mont Chatelet de Varzy et l’association 47-2 sont partenaires du programme «Excellence des Métiers d’art» promu et financé par la DRAC (Direction régionale des Affaires culturelles) Bourgogne-Franche-Comté et l’Académie de Dijon. Ce programme permet à un-e artiste d’intervenir, sous la forme d’une résidence, au sein de la section de ferronnerie d'art du lycée professionnel « Le Mont-Châtelet ». L’enjeu de la résidence est de mettre en dialogue une pratique artistique et l’univers de la ferronnerie d’art, permettant à l’artiste d’expérimenter une forme inédite pour sa pratique et offrant aux étudiants l’opportunité de participer à la production d’un objet artistique.

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Pour cette douzième édition de la résidence « Excellence des Métiers d’Art », la section ferronnerie d’art a accueilli l’artiste céramiste Victor Alarçon. La restitution de cette résidence s’est tenue au Musée Auguste Grasset de Varzy le 5 juin dernier, et reste visible jusqu’au 31 octobre.

Cette résidence fut le théâtre d’une rencontre dynamique des matières et des savoir-faire, qu’à priori tout oppose. Entre métal et fer, mollesse et dureté, il s’invente au fil des semaines des zones de contact, des astuces créatives pour faire à plusieurs. Des gestes s’empruntent d’un côté ou de l’autre, et le feu devient un outil commun.

Pour l’exposition « Let’s dance » accueillie au Musée Auguste Grasset, les élèves et l’artiste ont travaillé à élaborer un espace scénique potentiel, inspiré des kiosques du XIXe siècle, mais aussi des lignes de l’architecture gothique. Cette structure-sculpture qui entremêle l’acier amolli de la forge et la céramique bariolée propose, dans l’espace du musée, un espace à occuper, une petite folie kitsch, où tout peut arriver.

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Mise à jour : juin 2025