Publié le 03 septembre 2020
« Il ne faut pas laisser la loi du silence, la loi du tabou s'installer mais inciter les enfants à parler, à sortir de leur souffrance, à ne pas considérer qu'ils sont dans une impasse, surtout quand ce harcèlement passe par internet et qu'ils ont l'impression d'être seuls face à leur écran ».